Un des aspects essentiels dans une formation est que l'élève saisisse le sens de ce qu'il apprend.
Ce sens correspond à la raison logique pour laquelle il se forme.
Or lorsqu'on créé une formation, on pense surtout aux habiletés et connaissances sensibles, que l'élève peut observer, mais se raccrocher au sens demande une compétence qui est plus du domaine de la philosophie que de l'art ou métier enseigné.
Tous les formateurs n'ont pas une licence en philosophie.
Or de plus, actuellement est promu l'esprit critique, donc l'élève peut potentiellement remettre en cause le contenu de sa formation, la trouver inappropriée.
C'est de cette appropriation dont il s'agit.
Le formateur n'est pas un sophiste qui avec le renfort d'astuces de réthorique va persuader l'élève avec des ressorts émotionnels.
Car au final, ce qu'on vise est que dans un contexte représentatif de la formation suivie, il sache comment agir pour arriver à ses fins, sans risque de catastrophe.
C'est en cela que chez les grecs, la σοφή (sophé, féminin de σοφός) se traduit par sagesse et désigne l'habileté, la prudence, le savoir, l'instruction, et d'être ingénieux, fin, rusé.
L'objectif d'une formation est d'accroître la sagesse des élèves.
Il faut pour cela qu'ils en aient envie...
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