Un petit sondage auprès d'une cinquantaine de personnes a montré que 65% veulent être autonomes et essayer par eux-mêmes, 25% veulent agir collectivement, et seulement 10% souhaitent être dirigés par une autorité.
Ne veulent-ils plus de mauvais managers ou n'en veulent-ils plus du tout ?
La problématique est alors dans la coopération pour que dans une organisation les efforts de chacun s'harmonisent afin de tous contribuer à la production et à la performance.
Le cœur du problème de la gestion d’une entreprise réside dans la pertinence des choix qu’on effectue, des décisions que l’on prend, de la direction qu’on suit.
La science a d’abord cru qu’une rationalité totale était possible, puis a convenu qu’elle est limitée par les abstractions de données nécessaires, et que finalement l’intuition est la plus fréquemment utilisée. Le « pif » sert souvent de girouette. Et les « usages communs » sont aussi un grand frein aux innovations.
Or ce que je n’ai jamais vu pratiquer est une réflexion collective structurée visant à établir une vérité quasi-scientifique et philosophique de la situation rencontrée, comprendre les mécanismes qui agissent dessus, afin d’en concevoir une idée réaliste, d’où la solution surgit d’elle-même.
En effet des mécanismes psychosociaux entrent en jeu, tels que les luttes de pouvoir, « l'effet de groupe », ou aussi la « dissonance cognitive ».
Je crois donc nécessaire de former les gens au questionnement, à l'interrogation, et au dialogue, plutôt qu'au débat argumenté dans lequel le plus fort triomphe des plus faibles. Lorsqu'on co-développe, coopère, on n'est pas en lutte pour que ses intérêts prévalent sur ceux des autres car on doit se sentir dans une communauté d’objectifs et de moyens.
Dans ce but j'ai conçu un cycle sur 4 demi-journées fait de conférences participatives et d'ateliers pratiques.
A l'issue de celles-ci, les participants devraient avoir gagné en confiance en eux, en cohésion, en communication, en analyse, et en émergence d'idées-ressources. Ils auront accru leurs compétences intellectuelles et sociales.
Si cette proposition résonne pour vous, que vous aimeriez me rencontrer pour mieux évaluer notre opportunité de travailler ensemble sur vos besoins, n'hésitez pas à prendre contact avec moi ou parcourir mon blog.
Ne veulent-ils plus de mauvais managers ou n'en veulent-ils plus du tout ?
La problématique est alors dans la coopération pour que dans une organisation les efforts de chacun s'harmonisent afin de tous contribuer à la production et à la performance.
Le cœur du problème de la gestion d’une entreprise réside dans la pertinence des choix qu’on effectue, des décisions que l’on prend, de la direction qu’on suit.
La science a d’abord cru qu’une rationalité totale était possible, puis a convenu qu’elle est limitée par les abstractions de données nécessaires, et que finalement l’intuition est la plus fréquemment utilisée. Le « pif » sert souvent de girouette. Et les « usages communs » sont aussi un grand frein aux innovations.
Or ce que je n’ai jamais vu pratiquer est une réflexion collective structurée visant à établir une vérité quasi-scientifique et philosophique de la situation rencontrée, comprendre les mécanismes qui agissent dessus, afin d’en concevoir une idée réaliste, d’où la solution surgit d’elle-même.
En effet des mécanismes psychosociaux entrent en jeu, tels que les luttes de pouvoir, « l'effet de groupe », ou aussi la « dissonance cognitive ».
Je crois donc nécessaire de former les gens au questionnement, à l'interrogation, et au dialogue, plutôt qu'au débat argumenté dans lequel le plus fort triomphe des plus faibles. Lorsqu'on co-développe, coopère, on n'est pas en lutte pour que ses intérêts prévalent sur ceux des autres car on doit se sentir dans une communauté d’objectifs et de moyens.
Dans ce but j'ai conçu un cycle sur 4 demi-journées fait de conférences participatives et d'ateliers pratiques.
A l'issue de celles-ci, les participants devraient avoir gagné en confiance en eux, en cohésion, en communication, en analyse, et en émergence d'idées-ressources. Ils auront accru leurs compétences intellectuelles et sociales.
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